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L'Affaire Epicure à Saint-Gaudens

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L'affaire Epicure à Saint-Gaudens est l'histoire d'un pillage intellectuel, moral et financier, avec, à la clé, une dett

L'affaire Epicure à Saint-Gaudens est l'histoire d'un pillage intellectuel, moral et financier, avec, à la clé, une dette de plusieurs millions d'€uros pour les collectivités. Principal acteur de ce projet associatif entre 2003 et 2007, et premier salarié de la structure, j'ai décidé de rendre public les documents en ma possession qui, éventuellement, pourraient expliquer, en partie, les origines et les raisons de ce pillage...

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L'Affaire Epicure à Saint-Gaudens

 

 

Duclos et Lépinay visés par une plainte pour "escroquerie"...

Jérôme HOTTA, référent ANTICOR31, porte plainte pour escroquerie... Y-a-t-il eu des atteintes à l'égalité des marchés de 6 et 1,6 M€uros ? Et un emploi fictif pour 45 000,00 €uros sur l'exercice 2013 ? Et le rapport 2013 du Commissaire aux Comptes, KPMG... Et l'excellent papier dans La Gazette du Comminges, semaine 48...

Jérôme HOTTA, référent ANTICOR31, porte plainte pour escroquerie...
Jérôme HOTTA, référent ANTICOR31, porte plainte pour escroquerie... 
 

 
 

 

"Pour 3 millions d'€uros, t'as plus rien !", sauf que pour 6 millions, à Saint-Gaudens, on a...

La délibération à 6 millions d'€uros pour une clinique qui n'en valait que trois millions selon les documents présentés et autorisés. Le Budget Prévisionnel avec un investissement de 3 millions d'€uros... Le Calcul de la redevance, correspondant à l'annuité d'emprunt... Et l'échéancier du prêt tel qu'il aurait dû être contracté...

La délibération à 6 millions d'€uros pour une clinique qui n'en valait
La délibération à 6 millions d'€uros pour une clinique qui n'en valait 
Il suffit d'écouter le "18h00" de Radio Nostalgie de ce vendredi 23 octobre 2015...

https://dl.dropboxusercontent.com/u/53465543/-23OCT15%20LE%2018%20H.mp3

Ou alors de lire :

Le Petit Journal du Comminges du mercredi 21 octobre 2015

http://www.lepetitjournal.net/011016-430957-Affaire-Epicure-a-Saint-Gaudens--Un-abus-de-bien-social-publiquement-revele-.html

La Dépêche du Midi du mercredi 28 octobre 2015

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/28/2206071-vendredi-l-accord-final-sera-t-il-trouve.html

Le Petit Journal du Comminges du mercredi 28 octobre 2015

http://www.lepetitjournal.net/Comminges/011016-434713-Affaire-Epicure-quand-la-Ville-et-la-Communaute-ont-elles-ete-trompees.html

Radio Nostalgie Comminges Pyrénées du mardi 03 novembre 2015

https://dl.dropboxusercontent.com/u/53465543/-03NOV15%20LE%2018H.mp3

 
 

 

« PROJET EPICURE » : Qui va payer la facture ?

Et le "défunt" Centre Epicure, désormais Centre André Mathis de l'ASEI La "défunte" plaque de l'Association Epicure, boulevard Jean Bepmale

Et le "défunt" Centre Epicure, désormais Centre André Mathis de l'ASEI
Et le "défunt" Centre Epicure, désormais Centre André Mathis de l'ASEI 
Article paru le 17 février 2010 dans "Le Petit Journal du Comminges"
 

PROJET ÉPICURE : QUI VA PAYER LA FACTURE ?
 

Le Centre de Réadaptation Fonctionnelle et de Rééducation Clinique pour Personnes Déficientes Visuelles de Saint-Gaudens devrait enfin recevoir sous peu ses premiers patients. Mais les objectifs annoncés sont, pour l'instant, bien loin du compte.
 

Après plusieurs remodelages successifs pour satisfaire aux exigences administratives réclamées pas l'état, le « Projet épicure », représenté depuis mars 2003 par sa charismatique promotrice Danièle Gombert, arrive enfin dans sa phase initiale de démarrage. Mais, et bien qu'ayant reçu dans une certaine douleur l'autorisation administrative d'ouverture de la clinique pour son Service de Soins et de Réadaptation fonctionnelle (SSR), et contrairement à ce que l'on pourrait nous laisser entendre, il n'y a actuellement aucune garantie de réussite concernant la fiabilité du projet thérapeutique de cet établissement.

 

« C'est une première, on va forcément essuyer les plâtres. ». Ainsi s'exprimait la Directrice du Centre Médico-Social à Vocation Hôtelière d'épicure dans une dépêche AFP du 17 août 2009, concernant l'ouverture de celui-ci, et les difficultés rencontrées pour recruter les douze élèves de la toute première promotion. En effet, moins d'un mois avant son ouverture, il y avait seulement 4 postulants pour une unité qui ne fonctionne aujourd'hui qu'à la moitié de sa capacité, soit seulement 6 élèves, et ce « en raison d'une communication un peu tardive du lycée. », toujours selon la même dépêche AFP.

 

Aujourd'hui, et avec seulement deux mois de retard sur le calendrier initial, ce qui est peu compte tenu du volume du chantier réalisé, et 6 mois après l'ouverture du Centre Médico-Social, c'est maintenant au tour de la clinique « d'essuyer les plâtres », mais pas forcément pour les mêmes raisons. En effet, lorsqu'il s'agit de mettre en oeuvre, c'est-à-dire d'administrer, l'ensemble d'un projet thérapeutique dans sa phase de démarrage, et ce en l'absence d'éléments essentiels et fondateurs du projet, celui-ci risque de se heurter à une dure réalité, à savoir n'atteindre son plein régime de croisière que d'ici à trois ans. Car il y a un élément de taille qui a été dissimulé, notamment aux élus qui ont voté pour constituer la Société d'économie Mixte Locale (SEML) « épicure », à savoir la démission le 21 mars 2008 de Monsieur Claude Pourkat, Administrateur de l'Association en tant que Vice-Président, et Directeur Technique du volet clinique du projet.

 

Or, qui est Claude Pourkat ? Claude Pourkat n'est autre que l'ancien Directeur et créateur de la deuxième clinique de réadaptation fonctionnelle pour déficients visuels en France, à savoir celle de Nîmes, l'ARAMAV, et c'est lui qui a généreusement fait don de son expérience, de son temps, de ses réseaux, et surtout d'un savoir-faire unique et exceptionnel, acquis et développé pendant 17 ans de direction au contact de plus de 1500 patients. C'est lui qui est l'auteur ou le coauteur de quasiment tout ce que vous pouvez lire sur le site de l'association (http://www.epicure.asso.fr/), mais il n'apparaît nulle part. D'ailleurs, et à ce titre, il vient de demander à la charismatique Présidente de bien vouloir préciser cela sur son site, afin qu'il n'y est pas une utilisation « abusive » de ce savoir et de ces écrits. Car, par « l'omission » de ce nom, et dans ce milieu où tout respire la subtilité, on ne sait jamais ! La preuve, à en croire ce même site, la seule communication de presse qui existerait, n'aurait débuté qu'en décembre 2006, et non en décembre 2003... Tout aussi curieux que cette omission des statuts, des administrateurs, des rapports d'activités, des bilans moraux et financiers, ainsi que, surtout, des conditions d'adhésion : une improbable obscurité, qui ressemblerait, à s'y méprendre, à de l'opacité !

 

Quant à l'administration de ce projet, et ce depuis que les autorisations de créations de lits ont été obtenues fin 2005 (grâce au combat et à l'engagement d'une petite équipe de bénévoles qui a été très généreusement remerciée depuis par la charismatique Présidente), c'est-à-dire depuis quatre ans, il aura déjà dévoré en estimation basse entre 200 et 300 000 €uros en fonctionnement, pour divers frais de représentation et de mission, et autres voyages, mais aussi pour le salaire d'un directeur qui a préféré quitter ce « navire », le salaire du gendre de la dame, voire bientôt certainement celui de son épouse (donc fille de la dame) en formation d'AVJiste, et d'au moins deux des amants successifs de cette Directrice Générale pas forcément désintéressée. Une Directrice Générale qui a aussi cofondé, dans la plus grande discrétion, une « holding » d'associations baptisée « PÔLE épicure »... Bref, tout un programme, bien vaste pour une seule personne qui a déjà largement démontré certaines de ses limites relationnelles.

 

Car le problème majeur, dans cette histoire, serait qu'en face d'une administration d'association pour le moins farfelue, autocratique et peu rigoureuse, si jamais l'un des deux projets, ou les deux venaient à capoter, il ne resterait alors qu'une facture de plusieurs millions d'€uros que les Collectivités actionnaires, seules solvables et cautions de l'emprunt, à savoir la Ville de Saint-Gaudens et la Communauté de Communes du Saint-Gaudinois, auraient alors pour tâches d'éponger cette dette : Autant dire un gâchis énorme et inutile. Espérons donc, tout en lui souhaitant bon vent ainsi qu'un développement des plus exemplaires et sous les meilleurs auspices, que nous n'aurons jamais un jour à « essuyer les plâtres » du désormais définitivement implanté en terres commingeoises, et si profondément désiré « PROJET épicure ».
 

Jérôme HOTTA

 
 

 

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